Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (13) : Les Cousins
Avec Rachid, Philippe et moi avons poussé à lextrême mon hypersexualité et son candaulisme. Nous navions plus de limites et Rachid en profitait pleinement.
Après avoir (enfin) offert à Philippe sa soirée candauliste, Rachid sétait installé chez nous et se comportait en tous points comme mon véritable mari.
Il nétait cependant pas décidé à avoir avec moi une relation de couple « normale », mais au contraire, à partir de mon hypersexualité, de moffrir à dautres, afin de faire de moi, comme il lavait annoncé, une « salope intégrale ».
Jétais daccord avec ce programme, afin de rattr le temps perdu et de connaître tous les plaisirs. Philippe également, lui aussi soucieux que je connaisse, si possible en sa présence, un maximum de plaisir.
Dès le lendemain de la soirée « historique » que nous avions vécue en présence de mon mari « en titre », Rachid ne souhaitait pas perdre de temps.
Philippe était parti au travail car il était bien entendu que cest lui qui entretiendrait le trio, le rôle de Rachid étant de veiller à mon plaisir.
Jétais dans les bras de Rachid, avec lenvie de commencer la journée en faisant lamour avec mon mâle.
Rachid marrêta :
Olga, aujourdhui, je me repose, sinon tu vas me .
Ah non, tu as promis à Philippe de veiller à mon plaisir. En échange de quoi, tu loges chez nous et tu disposes de nos revenus.
Je sais. Aujourdhui, je vais toffrir à mes deux jeunes cousins, Ahmed et Ali (les prénoms ne sont pas ment ceux des récits du blog, à la demande des intéressés). Ils ont la majorité sexuelle, je te rassure, ils ne sont plus puceaux et sont comme moi de bons baiseurs. Jai pensé que tu serais la meilleure pour les perfectionner.
Tu seras fier de ta femelle, mon chéri. Quel dommage que Philippe ne puisse assister, le pauvre !
Ne tinquiète pas pour lui, je lui réserve dautres occasions, il ne sera pas déçu ! En attendant, je veux que pour eux, tu sois superbe, maquillée, que tu portes une jolie robe, des hauts talons, des bas résilles.
Oui jattends tes instructions pour ne plus prendre de contraceptifs. Même si jai très envie de me faire féconder par toi, mon chéri.
Patience. Avant ça, beaucoup de mâles te passeront dessus. Sache que mes deux jeunes cousins disposeront entièrement de toi et donc auront exceptionnellement le droit de se vider dans ta chatte.
Je me préparais donc soigneusement, comme me lavait demandé Rachid. Je pris une longue douche, prit soin de bien laver ma chatte et mon cul, me parfumer avec délicatesse. Javais aussi veillé à épiler légèrement ma chatte, de façon à laisser un « ticket de métro ». Je veillais à ce que mes lèvres soient bien rouges, mes yeux, mes sourcils, mes cils, mes joues, soigneusement maquillés. Mes longs cheveux noirs tombaient sur mes épaules. Je choisis une robe bien décolletée, mais qui permettait, cétait exceptionnel pour moi, de porter un soutien-gorge qui mettait en valeur mes petits seins. Javais mis des collants noirs et choisi des talons aiguilles qui mettaient en valeur mon cul.
Rachid fut époustouflé :
Je suis fier de toi. Tu me fais bander, mais tu nes pas pour moi aujourdhui !
La sonnette retentit : cétait les deux cousins. Deux jeunes hommes, en casquette, blousons et jeans serrés.
Salut Rachid. Dis donc cest ici que tu crèches maintenant ? Bravo ! On a croisé des bourge dans lentrée. On a fait comme tu nous avais dit, on leur a expliqué quon venait pour baiser Olga T ! Ils étaient scandalisés !
Salut les jeunes. Je vous présente celle pour laquelle vous êtes venus : Olga. Ma femelle, voici mes cousins, Ahmed et Ali.
Ouah Rachid tu ne nous as pas menti, elle est magnifique. Elle est vraiment à toi ?
Bien sûr les gars et complétement. Je suis son mâle, elle est folle de moi et son cocu me laisse faire, à partir du moment où elle prend son pied et quil puisse mater de temps en temps.
Mais tu la mets à disposition dautres mecs ? Tu vas en faire une pute ?
Oui, mais une pute gratuite. Ca me plait lidée que je dispose de son corps, que je sois lordonnateur de ses plaisirs. Cest une bombe sexuelle, vous verrez. Je suis un bon baiseur, mais à moi tout seul je ne peux la satisfaire.
Nempêche que son mari ça doit être une sacrée fiote pour accepter ça !
En tout cas, je compte bien en profiter à fond. Ça fera son bonheur à elle, à lui et à moi. Et sil y en a beaucoup dautres, vous êtes les premiers, elle est entièrement à votre dispositions, mes frères. Vous saurez la faire bien jouir. Prenez tout votre temps, elle est à vous pour la journée.
Je mapprochais dAhmed et dAli et me retrouvais coincée entre eux deux. Je sentais deux barres de chair qui me faisaient espérer des moments inoubliables. Ali était derrière moi, il prit mes seins dans ses mains, tandis que joffrais mes lèvres à Ahmed.
Jaime comment tu touches mes seins et malaxe ma poitrine. Toi tu vas membrasser. Penche-toi, incline ta tête. Tu vas poser tes lèvres sur les miennes.
Ahmed, timidement, membrasse une seule fois, doucement, en faisant durer le baiser pendant quelques secondes. Puis, il décolla lentement ses lèvres, mais en les gardant tout près des miennes. Jouvrai la bouche, cétait une invitation. Pendant ce temps-là, lautre cousin me caressait le cul et la poitrine. Rachid matait et encourageait
Vas-y, bouffe-lui la langue. Et toi, embrasse-la dans le cou, derrière loreille. Tu vas la rendre folle, surtout si tu continues à lui caresser sa poitrine.
Les mains de mes futurs amants me caressaient et moi je ne restais pas inactive. Mes mains caressaient leurs bites à travers leur jeans. Ahmed mordillait ma lèvre inférieure, tandis que Ali mordillait mon cou, mes épaules, mes lobes doreille.
Ahmed mit sa main derrière ma tête et me serra contre lui. Il me fit un long baiser, puis Ali prit le relais.
Mais Rachid entendait bien que nous prenions notre temps.
Vous avez tout le temps, les garçons. Cest votre première Cefran. Une Kahba !
Cest la première fois, mais pas la dernière que jentendais des insultes à mon égard en arabe ou en langage des quartiers.
Doucement, les gars, vous avez tout votre temps. Elle a envie dêtre baisée, mais vous allez la faire patienter, ce sera sa récompense. Je vous suggère dabord de la déshabiller. Il faut découvrir la merveille que je vous offre.
Dommage que son Zamel (pédé) de mari ne soit pas là pour mater ça !
Ne vous inquiétez pas. On lui racontera tout ce soir, je vais filmer pour quil en profite bien et il soccupera de bien nettoyer sur le corps de cette Isibe (pute) les traces de vos ébats.
Ali sapprocha de moi. Il désigna du doigt la fermeture à glissière dans le dos de ma robe, réclamant que celle-ci soit descendue. Ahmed sattaqua au bouton dans le haut du dos et puis commença à descendre le zip, lentement. Rachid matait, fasciné parce que je me laissais faire. Ahmed parut déçu de ne pas pouvoir aller plus loin quà moitié du dos : le zip ne descendait pas plus bas. On apercevait cependant très nettement lattache dun soutien-gorge blanc avec une double agrafe.
Cest Ahmed qui se trouvait derrière moi qui a saisi la balle au bond :
Non, ce nest pas terminé, puisquon te dit quon ne voit rien. Maintenant on va voir !
En même temps quil parlait il sest accroupi. Il a brusquement écarté et tiré sur les deux épaulettes et tout en pliant les jambes descendu dun coup sec le haut de la robe jusquà mon estomac, dévoilant pour de bon le soutien-gorge blanc qui enfermait ma poitrine.
La robe baissée avait enfermé mes avant-bras. Jétais était offerte en soutien-gorge, découvrant un soutien à armature, tulle brodé sur les bretelles et sur le décolleté, petit nuds à la base des bretelles et des broderies florales sur le haut des bonnets qui dissimulaient à peine les pointes de mes seins.
Tout en saisissant à nouveau les deux pans de la robe qui faisaient des plis tout autour de mon ventre, Rachid tira pour amener le vêtement sur mes pieds. La robe fût entraînée toute entière à mes pieds me dévoilant en bas.
Le buste en avant, ma poitrine débordait du soutien-gorge et me rendait encore plus excitante et offerte. Ali coupa la bretelle droite du soutien-gorge, mon sein gauche sortit presque du bonnet libéré.
Le ciseau utilisé par Ali avait déjà sectionné la bretelle gauche ayant le même effet pour lautre sein.
Il nétait pas nécessaire de détruire lun de mes plus beaux plus beaux soutiens-gorge !
Et nous ça nous excite davoir le sentiment quon te force, Hagouna (conasse) Je suis certain que tu mouilles, tu vas mieux nous montrer ta culotte !
Ali tira lélastique souple du collant et tailla dedans. Il arracha le collant par lambeau sur la culotte qui révéla enfin toute sa blancheur puis passa la main entre le tissu et le ventre, mais le sous-vêtement était très tendu. Ahmed sétait pendant ce temps-là occupé de dégrafer ce qui restait du soutien-gorge, il tomba, libérant les deux seins ballottés par les mouvements désordonnés dAli.
Ali était occupé à rouler le bord de la culotte et la glissa par saccade jusquà la lisière du pubis. Jétais désormais seins nus. Ahmed sétait mis à me peloter les seins mis a lair sans retenue, titillant les bouts bien érigés et me faisant pousser de petits cris aigus. Ali glissa sa main vers mon sexe. Je me mis alors à gémir. En agitant sa main, Ali sexclama :
Cest ça, elle mouille, la garce !!! On lamène au lit conjugal. Quel meilleur endroit pour cocufier son Sbelliz (petite bite) !
Rachid sinstalla sur le fauteuil quoccupait Philippe quand il matait nos ébats.
Les deux garçons membrassaient, me couvraient de caresses et soccupaient tout particulièrement de mes seins. Javais quatre mains pour caresser mon corps, fouiller mes deux trous béants, deux bouches pour membrasser et soccuper notamment de mes tétons. Jamais je navais eu autant envie dêtre prise. Les doigts dAli et dAhmed se rejoignaient à travers la paroi qui sépare mon vagin de mon cul.
Jétais aux anges, ma chatte mouillait sérieusement et je commençais à sucer la grosse tige que me tendit Ali. Je le pompais de tout son savoir-faire. Ahmed fit le tour pour venir faire un tour du coté de ma chatte bien excitée, mécarta les jambes et il s'agenouilla devant. Il vint ensuite écarter les lèvres pour regarder l'intérieur tout rose et déjà bien humide de ma grotte d'amour. Puis dans un geste franc et direct il menfonça un doigt dedans ! Il me branlait de plus en plus vite. Ensuite il approcha son nez du minou pour commencer un savoureux cunnilingus. Mon vagin était tout gonflé de désir brulant !! Rachid ma dit que c'était magnifique à voir !
Ahmed me souleva par le bassin pour ensuite me retourner, et là n'en pouvant plus, il ramena mes fesses vers sa queue qui était bien droite, bien gonflée ! Et il m'empala sur son pieu d'un seul coup franc et énergique ! Il fut aspiré par ma chatte en feu et rentra comme dans du beurre ! Il était très excité et il me donnait des grands coups de reins qui claquaient mes fesses. Rachid matait pour voir en dessous, rentrer et sortir cette grosse bite dans le sexe de sa femelle qui haletait sur le gros mandrin de son cousin. Celui-ci poussait à fond et sa queue rentrait entièrement dans mon vagin ! Cétait divin !! ! Quant à Ali, il souleva à son tour mon buste pour venir se mettre sous moi. Je compris que jallais me faire défoncer les 2 trous en même temps !
Même mon trou de cul était aussi excité que ma moule! Une deuxième grosse biroute pénétra ma grotte d'amour encore largement ouverte par le passage tout frais dAhmed, pendant quAli me prenait par le petit trou. Deux énormes verges et 4 grosses couilles s'agitaient énergiquement dans mes fondements.
Comme les cousins étaient partageurs, ils changèrent de place et me retournèrent encore une fois pour me prendre chacun leur tour, soit en simplette ou en doublette.
Ils me finirent par un trio dont je me souviendrai longtemps. Quelle magnifique sensation, davoir les deux orifices occupés par deux magnifiques zobs et tout le plaisir que la double pénétration mapportaient. Ali et Ahmed, pourtant inexpérimentés, saccordaient, comme sils avaient fait cela toute leur vie, sur un rythme rapide et soutenu : ils me pénétraient ensemble et je sentais les deux engins se croiser à travers les membranes vaginale et annale ; ils ressortaient ensemble, à quelques centimètres de mes deux ouvertures. Et ils repartaient de plus belle, en poussant chacun des ahanements de bûcherons.
Rachid nen perdait pas une miette, filmant pour Philippe :
Tu es vraiment une catin Olga. Tu aimes ça, cocufier ton mari ?
Oui, Rachid, jadore ça. Offre-moi à tous ceux qui auront envie de me baiser !
Chacun de mes amants me tirait en force, comme si je nétais rien dautre quune poupée désarticulée. Mais une poupée heureuse dêtre soumise au bon vouloir de mes amants. Jaimais la saillie dAhmed ! Et jaimais être empalée sur le manche dAli ! Une double pénétration, donc, une double jouissance ! Un double plaisir ! Je ne sais pas si les plaisirs peuvent sadditionner, mais je peux témoigner que cette double pénétration par des magnifiques zobs, mapportait un maximum de plaisir !
Le ahanements de mes hommes se transformèrent au bout dun temps en des cris rauques de plaisir (des cris qui se ressemblaient tellement, que je ne savais pas à qui ils appartenaient), puis leur respiration prit un rythme de plus en plus rapide, avant de sarrêter. Ce fut Ali, qui le premier cria quil allait éjaculer, suivi immédiatement par Ahmed qui poussa un long râle de mourant, puis par moi qui me mit à pousser des cris incompréhensibles :
- Oui ! Oui ! Oui ! Jouir ! Jouir ! Jouiiiir ! Videz-vous en moi. Je veux être remplie !
Quand mes deux amants arrêtèrent leurs va-et-vient dans mes tunnels, nous restâmes longtemps dans la position que nous tenions : moi, affalée sur la poitrine dAhmed, la chatte encore empalée sur son manche, qui commençait à mollir, mais dont je sentais encore la force; Ali affalé sur mon dos, le sexe enfoncé dans mon cul et qui avait encore gardé de la vigueur. Je sentais quAhmed commençait à fatiguer et le fis comprendre à Ali, qui se retira de mon anus. Je relevais les hanches pour faire sortir Ahmed de ma chatte et allai massoir sur le sofa, à côté de Rachid. Je me précipitais dans ses bras et lembrassais amoureusement.
Ca ta plu ?
Beaucoup, je suis fier de toi, ma chérie. Mais ce nest pas fini, tu nen nas pas assez et eux non plus, je le sais.
Ali vint me présenter son zob encore debout et luisant de sperme, mélangé aux sécrétions de mon cul et me fit comprendre quil fallait que je moccupe de le lui nettoyer. Auparavant, je naimais pas trop, trouvant lopération sale et non hygiénique. Et puis jy ai vraiment pris goût avec Rachid, surtout quand je voyais le plaisir que mon mâle prenait à lopération. Je pris donc le zob de son cousin et me mis à le nettoyer consciencieusement avec la langue dabord, les lèvres ensuite et enfin avec toute la bouche. Javalais toutes les sécrétions que je rencontrais, en exagérant même le plaisir que jétais censée prendre, en claquant à chaque fois la langue de manière sonore, comme font les s qui boivent ou mangent des aliments quils aiment vraiment.
Tu ne veux pas quelle te fasse la même chose ? dit Ali à Ahmed, qui regardait la scène avec des yeux brillants et dont je voyais limmense zob reprendre de la vigueur.
Je lencule dabord ! Et elle me suce ensuite !
Ahmed me mit à quatre pattes par terre et entreprit de menculer en force, devant les yeux exorbités de Rachid. Mon mâle était assis sur le bord du sofa, son sexe en érection, dans la main nous regardant tour à tour. Il regardait Ahmed qui me tirait brutalement, tout en me caressant la chatte, pendant que je pompais Ali ; et il me regardait moi, en train de gémir de plaisir. Jessayais de me retenir de ne pas trop gémir de plaisir. Parce que dun côté javais mal, mais de lautre jétais encore une fois monté au paradis. Rachid prenait visiblement du plaisir à me regarder me faire tirer comme cela. Il se caressait lentement le zob, puis au bout dun moment il se leva et vint se placer à genoux devant moi, me présentant son sexe pour que je le suce. En fait non, il voulait lui aussi me tirer pas la bouche. Il mavait dailleurs toujours affirmé que ma bouche ressemblait à une superbe chatte, et quil aimait me baiser par là.
Le spectacle devait être torride. Jétais en train de me faire sodomiser brutalement et javais deux queues dans la bouche. Les deux mâles navaient cure que jétais à la limite de l. Les sexes dAli et de Rachid métouffaient, en allant et venant dans ma bouche et ma gorge à un rythme infernal.
Ahmed derrière moi y allait gaillardement en regardant mon mâle dans les yeux, en poussant des grands cris de plaisir.
Je prenais du plaisir ; mais mon plaisir était surtout dû aux doigts des trois mâles qui, à tour de rôle, et parfois ensemble, fouillaient ma chatte béante de leurs doigts, alors quAhmed me sodomisait en même temps.
Et puis une fois encore, le plaisir vint en trombe, pour nous tous: nous jouîmes très fort tous les quatre, à intervalle de quelques secondes. Je fus la première à avoir un orgasme, pas aussi fort que les précédents, il faut bien le reconnaître, mais suffisant pour me rendre heureuse; puis ce fut Rachid et Ali qui éjaculèrent dans ma bouche et sur mon visage. Ahmed enfin éclata dans mon cul en y déversant tout ce qui lui restait comme sperme.
Il se retira, mais resta un moment derrière moi à regarder le sperme qui coulait de mon anus. Il se leva et vint, comme lavait fait auparavant Ali, me présenter sa queue pour que je la nettoie.
Je le fis volontiers en regardant Rachid dans les yeux. Il était vraiment heureux et fier de moi ! De temps en temps, jessayais de relever la tête pour regarder Ahmed dans les yeux. Il tenait ma tête entre ses mains et quand il voulait lui aussi me regarder dans les yeux, il mattrapait sous le menton et me faisait relever la tête, tout en maintenant sa bite à lintérieur de ma bouche. Je voyais alors que lui aussi était au paradis.
Jétais brisée par le plaisir, mais ces hommes jeunes nen avaient pas assez. Je dus les sucer pour leur redonner de la vigueur, avant quà tour de rôle, ils viennent à nouveau mhonorer.
Ils prenaient tout leur temps, soucieux den profiter jusquau bout du jour, comme convenu. Ils ne me ne se contentaient plus de se baiser, lun me faisait lamour, pendant que les deux autres mataient et me couvraient dinjures. Rachid était excité mais aussi furieux dentendre les mots tendres que jéchangeais avec mon amant du moment.
Au départ dAhmed et dAli, je restais dans le lit, brisée par le plaisir, couverte de sperme qui coulait aussi de mes orifices. Ce fut ce jourlà aussi que, pour la première fois, Rachid se montra brutal avec moi. Il masséna une forte gifle
Dis-donc, petite putain, tu es à moi et seulement à moi. Je suis le seul à qui tu as droit de dire que tu laimes. La seule exception que jaccepte cest Philippe, sans lui je ne taurais pas connue. Tu as compris, diablesse ?
Mais mon chéri, cest dans le feu de laction. Ils mont baisée tellement bien. Je voulais que ça ne sarrête jamais.
Philippe arriva à ce moment. Ses yeux étaient exorbités de désir et dexcitation. Il se précipita vers moi et membrassant longuement.
Vous auriez pu faire ça quand jétais là !
Il faut bien que je loccupe en journée. Ne tinquiète pas, je pense à toi prochainement.
Tu as bien joui mon amour ? Tu es encore plus belle quand tu es comme ça, brisée par la vague du plaisir.
Tu es couverte de sperme, ta chatte et ton anus sont pleins. Je vais bien te nettoyer mon amour et ensuite Rachid te fera lamour. Ils étaient combien aujourdhui ?
Deux, mes cousins Ali et Ahmed, mais ils ont assumé ! Je suis fier deux. Mais si tu veux mon avis, cela ne suffit pas à Olga. Il lui en faut plus, beaucoup plus. Elle na plus de limites !
Tu as raison Rachid, tu as ouvert les portes du plaisir. Jen veux encore et encore !
Ce soir-là, Rachid demanda à Philippe de me fister et de me cravacher, puis il me baisa sauvagement. Je me rendais compte que jétais dans une spirale que je ne contrôlais pas et que Philippe ne contrôlait pas, mais je navais pas envie que cela sarrête, au contraire !
(A suivre, partouze chez Pierre et Christine)
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